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ASSOCIATION FRANCE THYROÏDE
29 novembre 2012

TEMOIGNAGES SONS ET IMAGES

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24 novembre 2012

NOUVEAUTE A COMPTER DU 28 NOVEMBRE 2012

UNE INNOVATION A PARIS LES  28 ET 29 NOVEMBRE 2012

L’Ecole Européenne de Chirurgie à PARIS 06 organise les premières formations concernant la chirurgie robotique thyroidienne par voie transaxillaire.

 

DIRECTEUR PRÉSIDENT ET COURS:

Dr Patrick Aïdan, American Hospital of Paris

FACULTÉ:

La faculté a une expérience avérée de compétences en chirurgie robotique et est dédié au partage de l'expérience et des connaissances dans le but d'influer sur l'avenir de la médecine. 
La faculté est attaché à la réussite de leur formation des chirurgiens et des équipes chirurgicales robotisées.

OBJECTIFS:

• Apprenez les principes fondamentaux de la procédure thyroïdectomie robotique assistée 
• Fonctionnalité et ergonomie de Vinci Surgical System ® et instrumentation 
• Patient positionnement, la position de l'équipe chirurgicale et approches chirurgicales 
• Pour en savoir «ficelles du métier» pour rendre les procédures plus efficaces et Thyr minimiser risque de 
complications.

Première journée - Session théorique

• La préparation du patient et positionnement 
• L'évidement axillaire (préparation de travailler 
espace) 
• Enrouleur de placement et d'accostage robotisé 
• L'approche axillaire Vinci Thyroïdectomie 
• Astuces & Conseils 
• La sélection des patients et des sentiers

Jour deux - Cours Dissection cadavérique sur le modèle

• L'exposition, d'accueil, de positionnement panier chirurgicale 
• L'évidement axillaire 
• Étape par étape la procédure 
• Analyse des étapes critiques 
• Introduction aux cas d'observation et de cheminement clinique

 

 

22 novembre 2012

Nouveau logo de l'association

LOGO DVCP

22 novembre 2012

Master Class : Chirurgie robotique de la thyroïde

Chirurgie robotique : L’ablation de la thyroïde sans cicatrice visible !

L’Hôpital Américain de Paris a organisé le samedi 16 juin 2012 une Master Class consacrée à la chirurgie de la thyroïde par voie axillaire par assistance robotique, une technique révolutionnaire et en plein essor.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=td_hiNVpYV4

 

Pour en savoir plus ....

Avec déjà 48 interventions à son actif depuis 2010, le Dr Patrick Aïdan, organisateur de ce congrès, est le seul chirurgien ORL en Ile-de-France à pratiquer l’ablation de la thyroïde par voie transaxillaire, une technique qui consiste à pratiquer une incision de 5 à 6 cm sous le bras du patient, de façon à mettre en place les trois instruments articulés du robot da Vinci Si, acquis en 2009 par l’Hôpital américain de Paris. L’un de ces bras est équipé d’une caméra miniature. Le chirurgien, installé devant une console, manipule ensuite à distance les instruments. Grâce à une vision en 3 dimensions, ses gestes sont plus précis, ce qui augmente la qualité et le confort de la dissection. Ce sont les bras du robot, guidés par le chirurgien, qui réalisent l’exérèse de la glande thyroïde.

Cette technique révolutionnaire permet d’intervenir avec une grande précision sur la thyroïde sans cicatrice visible au niveau du cou. Celle-ci est dissimulée sous l’aisselle, ce qui apporte un grand confort esthétique aux patients, notamment dans des pays, où pour des raisons culturelles, il est mal perçu d’avoir une cicatrice visible.

Lors de cette journée, le « père » de la chirurgie thyroïdienne par assistance robotique, le Pr W.Y. Chung, a commenté les apports de cette technique, qu’il a mis au point en Corée du sud en 2006.  Le Dr R. Kuppersmith du Texas, et le Dr Piccioli d’Italie ont présenté leurs expériences sur le sujet. Le Dr Monpeyssen, thyroïdologue à l’Hôpital américain de Paris, a parlé du bilan radiologique pré-opératoire nécessaire avant une chirurgie robotisée.

Moment fort de cette master class : prés de 150 chirurgiens venus du monde entier ont suivi la retransmission en direct depuis le bloc opératoire d’une thyroïdectomie par voie axillaire, réalisée par le Pr Chung et le Dr Aïdan, avec l’assistance du robot Da Vinci Si. Un « Streaming » sur internet a également permis à des chirurgiens d'observer la technique et poser leurs questions.

C’est toute la chirurgie thyroïdienne qui est en train d’être révolutionnée grâce à l’assistance robotique. En plein essor, la technique devrait encore s’améliorer dans les années à venir. Actuellement en France, seules trois équipes pratiquent cette chirurgie robotique de la thyroïde : les CHU de Nancy et de Nîmes et l’Hôpital Américain de Paris. Le Dr Lallement du CHU de Nîmes et le Dr Brunaud de Nancy ont partagé eux-aussi leur expérience à l’occasion de ce congrès. 

Hôpital Américain de Paris - Juin 2012

19 novembre 2012

La "chirurgie robotique" se développe lentement en France

Par AFP, publié le 27/03/2011 à 13:04

REIMS - Quatre grands bras mobiles avec au bout des mini-pinces, un chirurgien assis devant une drôle de machine avec pédales et joysticks : en dépit de son coût, la chirurgie robotique se développe lentement en France, avec une quarantaine de robots en action.

Alain Herard

Le Dr. Alain Herard, chirurgien urologue, pose à côté du robot chirurgical Da Vinci, le 25 mars 2011 à Reims

afp.com/Francois Nascimbeni

 

On parle de robot, mais "il ne travaille pas tout seul, il faut toujours qu'on ait la main, il n'est ni programmable ni autonome", souligne le Dr Alain Herard, chirurgien urologue à la polyclinique de Courtancy à Reims, qui a investi dans un robot il y a 4 ans. De fait, c'est plutôt "un outil de haute technologie". 

Cette plateforme robotisée en deux éléments, baptisée Da Vinci par la firme américaine Intuitive Surgery qui en a le quasi-monopole, aide le chirurgien à réaliser une coelioscopie (ou laparoscopie), méthode utilisée depuis une vingtaine d'années qui a fait changer le visage de la chirurgie. 

La coelioscopie remplace la large entaille du chirurgien par plusieurs petites incisions. On y glisse un endoscope pour voir et des trocarts (tubes), par lesquels on introduit des instruments minuscules au bout de longs manches souples, pour prélever des échantillons ou couper des tissus. 

Par rapport à une chirurgie classique, toujours indispensable dans nombre de situations, la coelioscopie est moins invasive -donc moins de risques d'infections-, la visibilité est meilleure et la récupération du patient plus rapide. L'inconvénient, c'est que le chirurgien voit en deux dimensions, et que ses mouvements sont limités par des instruments longs et des positions compliquées. Les sutures sont difficiles à faire. 

Avec le robot, le patient est allongé sous une grosse machine métallique haute de près de 2 mètres et munie de quatre bras télécommandés : un pour la caméra 3D haute définition, les trois autres pour les instruments miniatures articulés qu'on va glisser dans les trocarts, comme pour une coelioscopie normale. 

Pour piloter l'opération, le chirurgien s'installe devant une console et deux joysticks, avec à ses pieds sept pédales et à l'écran une image agrandie des organes du patient en 3D. Avec les joysticks, il fait bouger les instruments sur six axes, sans aucun tremblement. 

"Ils sont flexibles comme des serpents", dit le Dr Herard. "On a l'impression d'avoir deux mains droites", note le Dr Philippe Villena, lui aussi chirurgien urologue à la clinique de Courtancy. 

"La robotique rassemble les avantages des autres techniques : une vision très agrandie du champ opératoire comme en coelioscopie et une liberté d'action comme dans la chirurgie ouverte classique", estime le Dr Abdi Majidi, chirurgien gynécologue. 

Ils admettent néanmoins que ce qui manque c'est le toucher des organes, ce qu'ils appellent le "retour de force". 

Même si l'utilisation en gynécologie et pour les pathologies ORL se développe, 70% des indications du robot sont à ce jour urologiques en France, essentiellement des enlèvements après cancer de la prostate, un organe difficile à atteindre, au fond du petit bassin. Outre les avantages d'une chirurgie peu invasive, les effets secondaires (incontinence, impuissance sexuelle) durent un peu moins longtemps. 20% des prostatectomies sont faites au robot en France (80% aux Etats-Unis). 

On utilise aussi le robot pour les ablations de l'utérus ou du rein et les endométrioses (présence de muqueuse de l'utérus en dehors de l'utérus). 

En France, 42 centres de santé (des CHU ou des cliniques privées) ont fait l'acquisition d'un robot, qui coûte entre 1,5 et 1,9 million d'euros et 120.000 euros par an pour la maintenance, sans compter le remplacement régulier des instruments. Actuellement quelque 1.700 robots Da Vinci sont en service dans le monde. 

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